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Directive européenne sur les plateformes de travail : Ce que cela signifie pour les freelances

En décembre, la Commission européenne a publié un ensemble de propositions visant à rétablir cet équilibre et à améliorer les conditions de travail des millions de travailleurs des plateformes et des gig workers, ou travailleurs à la tache en Europe. Dans cet article, Hannah Young de CXC examine comment les freelances — qu’ils soient légitimes ou qu’on leur ait attribué ce statut contre leur gré — pourraient être concernés par la législation en question.

Au cours des 10 dernières années, la montée en puissance de l’économie de plateforme a été l’un des changements les plus radicaux dans le monde du travail. Les données recueillies par Pew Research indiquent que 16 % des Américains ont déjà perçu de l’argent via une plateforme en ligne collaborative : bon nombre d’entre eux accomplissent des missions telles que la livraison de nourriture et de courses, le covoiturage.

La situation en Europe est comparable. Selon des études, le nombre de personnes pratiquant ce type de travail atteindra 43 millions en 2025, soit près de 10 % de la population de l’Union européenne.

Pour bon nombre d’entre elles, le travail sur des plateformes leur offre la liberté de gagner leur vie tout en décidant de leurs propres horaires de travail et en adaptant le volume de travail en fonction de leurs autres obligations. Et comme la difficulté d’accès au travail sur les plateformes est pratiquement inexistante, le travail qui y est proposé permet de gagner de l’argent dans des contextes économiques où il est difficile de trouver un emploi ordinaire.

Il existe toutefois une inquiétude grandissante concernant le risque d’abus de la part de ces plateformes qui emploient des « freelances » ou des « entrepreneurs » dans une relation employeur-employé, mais qui ne bénéficient pas des avantages et des protections juridiques liés à ce statut.

En décembre, la Commission européenne a publié un ensemble de propositions visant à rétablir cet équilibre et à améliorer les conditions de travail des millions de travailleurs des plateformes et des gig workers, ou travailleurs à la tache en Europe. Dans cet article, nous examinerons comment les freelances — qu’ils soient légitimes ou qu’on leur ait attribué ce statut contre leur gré — pourraient être concernés par la législation en question.

 

Lisez l’article complet de Hannah Young de CXC (en Anglais) ici.

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